Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

15/09/2009

Berlusconi, son vrai nom

Berlusconi, ce n'est pas son vrai nom. En fait, sa famille était originaire de la vallée d'Aoste et s'appelait Zardoz. Son ancètre, déjà, faisait toujours des conneries et à l'école quand l'instituteur l'interpellait il disait : "C'est pas moi m'sieur, c'est pas moi !". Même quand il était pris sur le fait il disait : "C'est pas moi m'sieur, c'est pas moi !". Alors, invariablement, l'insituteur disait en haussant les épaules : "Non mais, j'ai la berlue, ce con nie !" Depuis le nom est resté...

17:34 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, politique

19/09/2008

La crise économique ou le paradoxe des deux antiquaires

La crise économique ou le paradoxe des deux antiquaires



Sur une route nationale, à la sortie d'un village à 50 km de Paris, il y a deux antiquaires. Leurs boutiques se trouvent l'une en face de l'autre, de part et d'autre de la route. Pierre et Paul sont les noms de nos deux antiquaires. Leur clientèle est essentiellement constituée de parisiens qui passent le week-end et visitent l'une et l'autre des deux boutiques.
Un lundi Paul qui regarde distraitement les voitures passer sur la route nationale en attendant le client voit Pierre qui accroche un tableau dans sa vitrine. Curieux, Paul traverse la route pour examiner le tableau que Pierre vient de mettre en vente. C'est un joli tableau : il représente un paysage avec une rivière et une femme nue couchée dans l'herbe en train de manger une banane. Extraordinairement, Paul trouve que le prix affiché que l'on peut voir sur l'étiquette est très peu cher : 100 euros, ce n'est rien ! Il se dit que Pierre n'a pas eu les yeux en face des trous ce jour-là et entre dans la boutique pour acheter le tableau.
De retour chez lui Paul installe le tableau dans sa vitrine et y marque le prix de 200 euros. Il est heureux d'avoir fait une bonne affaire aussi facilement et pense que Pierre, finalement, n'est pas très malin.
Pierre, pendant ce temps là, se dit qu'il a été stupide et que bien sûr, ce tableau valait beaucoup plus que cent euros. Il y pense toute la nuit et dès le lendemain matin retraverse la rue pour racheter le tableau à Paul. Il le ramène chez lui et le remêt en vente dans sa vitrine au prix de 300 euros. Bien sûr, dès l'après midi, Paul le rachète et le remêt en vente au prix de 400 euros. Ainsi de suite jusqu'au vendredi soir où le tableau se trouve dans la boutique de Paul et finit par valoir 1000 euros. Mais dès le samedi matin, alors que Pierre, toujours en proie au doute se prépare à traverser la route nationale pour racheter le tableau et réparer son erreur, il voit un parisien qui arrête sa voiture devant la boutique de Paul et repart au bout de deux minutes avec le tableau sous le bras. Sidéré, il regarde la voiture s'éloigner et le tableau disparaître, puis il traverse la route en courant et crie à Paul :
- " Mais tu es fou de l'avoir vendu, un tableau qui nous rapportait 100 euros chacun par jour ."
C'est une histoire connue, on se la raconte de temps en temps dans le milieu de la brocante.
Supposons maintenant que ce samedi matin là le parisien ne soit pas passé parceque le prix de l'essence avait beaucoup augmenté et qu'il ait préféré rester chez lui pour le week-end.
Nos deux antiquaires auraient continué à jouer leur petit jeu déconnecté de toute réalité et le prix du tableau aurait augmenté de manière irréaliste.
Et puis un jour, devant l'énormité du chèque et tenant compte du resserrement du crédit, le banquier de Paul aurait décidé de rejeter le chèque de Paul et de ne pas honorer sa signature. Bien sûr, pour tous les deux, la situation aurait été absolument catastrophique : l'un n'aurait plus le tableau et l'autre n'aurait plus le moyen de le payer et tous les deux attendraient l'hypothétique passage d'un parisien qui peut-être, finalement, trouverait que ce tableau, fort joli, certes, est beaucoup trop cher !
En attendant le parisien, que pourrait-il se passer entre les deux et combien au bout du compte chacun aurait-il perdu ?

10/12/2007

Fable : Le lapin et la mouche

Le lapin et la mouche


Un lapin qui courrait s'enfuyait dans la lande,
Une mouche qui volait lui fit cette demande :
Hé monsieur du Lapin, où cours tu donc si vite ?
Vois, là, dit le lapin, un aigle me regarde,
S'il vient à m'attrapper j'en serai welsh-rabbit
J'aime autant m'échapper et qu'enfin Dieu me garde !

Eh, comment, dit la mouche, tu as donc peur d'un aigle ?
Chaque jour insouciante je fais voler mes ailes
Et je me fiche bien des rapaces qui regardent
Ils doivent bien voir de loin que je suis sur mes gardes
Et que j'ai dans mon sac des tours et des ficelles
Qui comme des talismans me protègent des aigles.

Vraiment dit le lapin, un être aussi petit
Peut être par les dieux bien armé de magie ?
Mouche ma soeur donne moi quelques tours
Qu'aussi je puisse défier les faucons et autours
Grace à la science qu'en toi tu certifies,
Et regagner ce soir le lieux de mes orgies.

La mouche qui plastronnait se gonfla les poumons
Et finit illico dans le bec d'un pinson.
Comme quoi, dit le poète, il ne suffit donc pas
D'être trop méprisé des princes de la Terre
Pour se croire à l'abri de la faim ordinaire,
Et ne jamais courrir le risque d'un trépas.

Encore des plus petits et des moins redoutables
Il faut se protéger quand on se met à table
si l'on veut éviter pour se voir admirer,
D'être comme l'invité qui paye le repas.

27/11/2007

Archéologie

Archélologie



     Il y a un problème qui fait le désespoir de bien des égyptologues : Depuis le début des recherches en égyptologie des dizaines de monuments et de sépultures ont été perdus, quasi définitivement enfouis sous des milliers de tonnes de déblais. En effet, chaque fois que l'on creusait quelque part, la difficulté de transporter tous les matériaux issus des fouilles faisait que l'on se contentait de les déverser quelques mètres plus loin, sans réaliser que l'on était peut-être en train d'ensevelir des merveilles que l'on rendait inaccessibles.

...................................


     Origène avait une méthode de rangement qu'il qualifiait d'à la fois simple et naturelle : le rangement par sédimentation, c'est à dire qu'il se contentait de poser sur une grande table qui lui servait de bureau tous les différents papiers qu'il accumulait dans le cadre de son activité professionnelle. Il y avait aussi bien des factures que des publicités, des commandes de clients ou des lettres personnelles. De manière logique, les plus anciens se trouvaient en dessous et les plus récents dessus.  La seule chose à laquelle il devait prendre garde était de ne rien égarer, mais enfin, il était bien rare dans sa maison aux fenêtres toujours closes qu'un coup de vent emportat quelque papier et quand l'un d'entre eux tombait au sol il essayait de la ramasser avant qu'il ne soit complètement recouvert par la poussière. De temps en temps, c'est à dire à peu près une fois par an, il donnait un grand coup de collier et s'attelait à sa comptabilité. Il commençait par y penser trois mois avant, paniquait pendant le dernier mois et se mettait vraiment au travail quand sa comptable lui téléphonait pour prendre de ses nouvelles.
    Une des causes de son découragement devant les tâches administratives était le sentiment qu'il avait d'être devant un langage inconnu, quasi hiéroglyphique. Mais de temps en temps, il avait besoin d'un papier, soit une facture à payer, soit une déclaration à remplir ou une commande à honorer et se mettait vraiment à la chercher à partir du moment où il recevait des rappels. Alors, s'il se souvenait à peu près de l'endroit où il l'avait posée, il se mettait à fouiller dans son tas de sédiments papelardiers. Il commençait à soulever quelques poignées de papiers en essayant de ne rien déplacer pour ne pas compromettre sa méthode de rangement "naturel". De temps en temps il avait de la chance et trouvait assez facilement le document objet de sa recherche, mais assez souvent il ne trouvait pas. Alors ses fouilles devenaient de plus en plus frénétiques. Il ôtait à gauche et redéposait à droite, fouillait au milieu pour finalement revenir là où il avait déjà regardé et peu à peu, envahi par le stress soulevait des tas de papiers au hasard et les redéposait n'importe où, là où il trouvait de la place. Il ne procédait pas de manière logique et rationnelle car cela l'aurait obligé à TOUT ranger d'un coup, et il n'en avait ni le temps ni le courage. Alors, soulagé, il finissait par saisir l'occasion d'une lettre de rappel pour régler le problème et abandonner sa recherche.
     Et puis, quand la date fatidique de sa clôture d'exercice arrivait il se mettait à la tâche et entreprenait de trier document par document  tout ce tas immense, fruit de l'accumulation de toute une année de correspondance publicitaire et administrative. Le pire est qu'il y arrivait : ce qu'il avait considéré comme un véritable travail pharaonique finissait toujours s'accomplir du moment qu'il était coincé par le calendrier et n'avait plus d'échappatoire. Même, il se sentait bien, libéré d'une espèce de montagne névrotique et envahissante qui l'avait terrifié pendant des mois.
     Alors, quand sa tâche était finie et qu'il avait même réussi à prendre un peu d'avance sur le travail de l'année suivante il se considérait très fier de lui et se disait qu'il avait une méthode personnelle qui s'appelait : "fouilles et sédimentation".

10/10/2007

Monsieur Hulot

L'escogriphe aux feux de plancher

Marche d'un pas qu'a dansé 

25/07/2007

Cy Twombly, Rindy Sam

          Un baiser sur fond blanc



     Une toile blanche peinte en blanc... Et ça vaut deux millions de dollars ! On ne sait pas si on doit crier au génie ou à l'usurpation... Génie peut-être, si on considère que quelqu'un l'ayant fait une fois, plus personne ne peut le refaire, exactement comme plus personne ne peut peindre la Joconde depuis que Vinci l'a fait une fois. Klein nous avait déjà fait le coup du bleu, mais jamais il n'aurait osé aller aussi loin ! Génie encore, car pour oser demander deux millions de dollars pour un truc comme ça il faut vraiment être génial ! Créer de la richesse à partir de rien tout le monde en rêve, mais peu de gens sont capables de le faire, même si beaucoup essaient.
     Cela pose tout de même quelques questions :
     Est-ce que les fabricants de feuilles de papier blanc vont devoir verser des droits d'auteur au père de cette oeuvre magistrale, comme n'importe qui qui utiliserait le travail d'un artiste à des fins commerciales ? Ou au contraire Cy Twombly va-t-il être accusé de plagiat ? Car à n'en pas douter il n'est rien d'autre qu'un plagiaire, même si plus personne ne se souvient du nom de l'inventeur de la feuille blanche. C'est un peu comme si un musicien déposait à la SACEM l'invention de la gamme de do... Ou un industriel un brevet pour l'eau chaude ! On ne voit plus très bien où se situe la limite entre le génie, la bétise et l'escroquerie. En tous les cas Cy Twombly se situe carrément beaucoup plus du côté du père Ubu et de la pataphysique que de celui de Léonard de Vinci !
     Rindy Sam fait oeuvre de salut public en allant violer un peu cette "oeuvre", de la même manière que celui qui avait donné un coup de marteau sur une pissotière célèbre. Tous les deux sont le souffle et la respiration de la révolte de l'intelligence. Car après tout, Cy Twombly n'est pas si coupable : pour son oeuvre il méritait un sourire amusé, voire même un peu de sentiment de complicité.
     Mais que des gens soient si bêtes, et aient tellement peur de rater quelque chose qui se passe au niveau de l'intelligence qu'ils soient prêts à débourser deux millions de dollars pour cela, que ces gens prennent des postures de maîtres à penser et veuillent s'imposer comme des parangons de la chose culturelle, au point de crier au viol pour un simple baiser, pour un simple effleurement des lèvres qui plairait à n'importe quelle (véritable) vierge, cela doit nous faire réellement peur. On sait que la bétise cherche toujours à se raprocher du pouvoir, c'est le seul moyen qu'ont les imbéciles pour se rassurer.
     Alors Rindy Sam, je n'ai qu'une chose à te dire : tu as eu tort de faire ce que tu as fait ; car ce n'est pas tes lèvres avec un peu de rouge que tu aurais du poser sur cette toile, mais ton cul, et y laisser un beau paquet de merd(r)e !

14/07/2007

Petit bazar scientifique

Question : qu'est ce qui est le plus lourd, l'eau ou le sable ?

A priori on pense (presque) tout de suite que c'est le sable qui est le plus lourd des deux, et la meilleure preuve en est que dans les mers le sable repose au fond de l'eau alors que s'il était plus léger il flotterait à la surface.

Pourtant ce n'est pas une vérité universelle et il y a des régions du monde où c'est juste le contraire. Ainsi le Sahara par exemple : au Sahara c'est le sable qui est à la surface et il faut même creuser très profond pour trouver l'eau...

13/12/2006

L'âne

L'âne
Amorphe
Ose
L'anamorphose
Ravi
Au lit
Epaté !

26/11/2006

SAUMUR

C'était un rigolo, il s'était amusé à rajouter un "e" à tous les panneaux à l'entrée de la ville de Saumur. Il a été pris en flagrant délit et déféré devant le tribunal : la note a été salée !

23/11/2006

Devinette

Qu'est-ce que se disent les ogres en se mettant à table ?

15:47 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0)

Les Incas et la roue

On dit que les Incas ne connaissaient pas la roue.

Erreur ! Au contraire ! Les Incas étaient même, et depuis très longtemps, de grands mathématiciens et de grands géomètres. Ils avaient même su résoudre des problèmes sur lesquels tout le monde continue à buter, comme celui, notamment, de la quadrature du cercle. Hélas, il faut bien le dire, des roues carrées pour un char, ce n'est pas terrible ! 

13:40 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (2)

21/10/2006

Jeu-concours

La règle de Troie :

Paris x Ménélas   

______________               =     ?

Ulysse

 

Premier prix : Une glace à la vanille avec de la sauce au chocolat et un fruit au sirop    

 

11:55 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (6)

04/10/2006

Jeux concours - suite

La bonne réponse était : "Les trois mon capitaine"

En effet, les combats de gladiateurs étaient un spectacle de nature guerrière qui nécessitait un entrainement sportif et de combat de premier plan. Il n'y a donc pas de bonne réponse ! Désolé pour notre unique participant, mais de toutes façons ça tombe bien car comme nous avons rompu nos relations artistiques et commerciales avec l'entreprise productrice des "Gouloufs" la remise du prix aurait été problèmatique !

A bientôt peut-être pour un autre jeux-concours,

Et youppie !!!!!!!

 

11:30 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0)

12/09/2006

Jeux-concours

Les gladiateurs étaient-ils :

  

Réponse a :    Des sportifs

Réponse b :    Des guerriers

Réponse c :    Des artistes du spectacle

 

Expliquez votre réponse. Les gagnants auront droit à un goulouf * pour le premier et un mini-goulouf pour le second et le troisième.

 

* (Cadeau mystère ; la réalité des gouloufs sera dévoilée dans un prochain article.) 

14:40 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0)

21/01/2005

Les grands inventeurs

Les grands inventeurs




Au début du 19° siècle, Céleste-Adrien Moncuq inventa la boite de conserve. Ce fut l'aboutissement de nombreuses années de recherche au cours desquelles il sacrifia sa fortune. Hélas, il mourut pauvre et ignoré de tous car il fallut attendre encore longtemps pour que l'américain John Hoppencan invente l'ouvre-boite.

15:20 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0)

02/12/2004

Après le départ de Nicolas Sarkozy :

Info, après le départ de Nicolas Sarkozy :







Dans les coulisses du dernier remaniement ministériel :



Nous venons d'apprendre, chose qui était passée complètement inaperçue, qu'avec le départ de Nicolas Sarkozy du Ministère des Finances il y avait eu un certain nombre de chaises tournantes, Le Premier Ministre a en effet décidé d'élargir les attributions du Ministère de l'Intérieur et de lui adjoindre un Ministre Délégué à la Vitesse et à la Circulation des Fluides.
Et n'ayons pas peur de le dire, c'est une bonne idée ! Le nouveau Ministre aura des pouvoirs très larges aux attributions transversales. Il pourra en effet intervenir dans l'un ou l'autre des secteurs habituellement réservés à ses collègues en fonction des besoins qui peuvent se faire jour à tout moment. Il sera ainsi aussi bien chargé de régler la vitesse de circulation des voitures en ville ou sur les autoroutes afin de mettre fin à une réglementation anarchique, ou de faire accélérer la vitesse d'examen des dossiers de la Sécurité Sociale, ou la vitesse d'exécution des peines de prison auxquelles un certain nombre de nos concitoyens ont été condamnés. Car quelle que soit la condamnation, on sait qu'en toute circonstance le temps passe plus ou moins vite, et il importe, au nom des principes démocratiques les plus évidents, que le temps passe à la même vitesse pour tout le monde.
Et nous le voyons tout de suite, les champs d'intervention de ce nouveau ministère peuvent être extrêmement variés : Cela va depuis le sport, - il n'y a en effet pas de raison pour que les sportifs français courent moins vite que les autres, - jusqu'à l'économie et au code du travail : voilà enfin une bonne manière de mettre fin à cette odieuse polémique sur les trente-cinq heures et aux velléités de les supprimer dont font preuve certaines personnes ; il suffira de les ralentir un tant soit peu, au grès des besoins des entreprises, pour que les ouvriers puissent assurer la même production qu'ils auraient eue en trente-neuf ou quarante heures.
Nous souhaitons bonne chance au nouveau Ministre, persuadés que nous sommes que cette nouvelle réforme était indispensable et qu'elle sera de la plus grande productivité !

11:35 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0)