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14/12/2006

Wow wow wow

Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita
Je t'attends, tu n'es pas là
Est-ce que tu penses à moi ?

Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita
Je t'ai peut-être fait peur
En brûlant d'une telle ardeur ?

Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita
Je n'ai plus qu'un écran plat
Qui puisse me parler de toi

Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita
Quand est-ce que tu reviendras
Pour te blottir dans mes bras ?

Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita
J'ai envie avec des fleurs
De caresser ton bonheur

Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita
Wow wow wow, Carmencita

24/11/2006

Quelques vers plus loin...

J'ai tant marché, usé mes pieds, par les chemins
J'ai tant cherché, sans rien trouver, tendu les mains.
Vole mon coeur, envole toi, bien haut, bien haut,
Au fond des cieux, près des étoiles, là haut, là haut.
 
J'ai tant rêvé, tant espéré, comme un destin
Trouver des yeux, qui regardaient, aussi les miens.
Vole mon âme, dans les nuages, y'a des oiseaux
Tu ne seras plus jamais seule et ils sont beaux.
 
J'ai tant brûlé, en feu et flamme, et en baisers
J'ai tant serré, sans regarder, qui j'embrassais.
Vole mon corps, tu t'es usé, à ce festin
Tu ne sais plus, trouver ce qui, te fait du bien.
 
J'ai tant donné, tout coeur et corps, jamais compté,
A tous ceux qui, me souriaient, me désiraient.
Vole ma vie, tu trouveras, l'amour un jour,
Au fond de toi, il te sourit, depuis toujours.

Le soleil se levait...

Le soleil se levait...                                                                                


Au milieu des rochers tout au bout de la plage               
Je l'ai trouvé couché parmi les coquillages                     
Avec le sable blond qui collait à sa peau                         
Tout tremblant de frissons et plein du froid de l'eau.                                           

Le soleil se levait
Et réchauffait sa peau dorée
Le soleil se levait
Éclairait ses cheveux mouillés

Mille soleils brûlants illuminent son corps
Et la lune sensible vient s'y chauffer encore
Quand le matin timide pointe sur l'horizon
Et murmure mon poème en guise d'oraison.

Le soleil se levait
Et réchauffait sa peau dorée
Le soleil se levait
Éclairait ses cheveux mouillés

Tous les bateaux qui passent vers des pays lointains
Laissent un jour une trace en forme de marin
J'ai gardé dans mon cœur et dans mon souvenir
Ce corps couché dans l'eau, ruisselle mon désir.

Le soleil se levait
Et réchauffait sa peau doré
Le soleil se levait
Éclairait ses cheveux mouillés

Papillonnez

Papillonnez

Tu dis souvent que tu m'aimes
Surtout quand je rentre chez moi
Et tu m'écris des poèmes
Qui veulent mettre le feu au bois
Oui mais ne sois pas si pressé
Surtout ne regarde que moi
De tes yeux je ne suis pas lassée
Tu ne connais pas mes émois

Papillonnez papillonnez
Et tournez donc autour des fleurs
Et quand vous voudrez vous poser
Elles vous diront de voir ailleurs

Tu ne vois pas que je t'aime
Car mes yeux regardent trop bas
Mais je ne suis plus la même
Quand je m'imagine dans tes bras
Mais attention à mes amies
Qui ont pour toi des yeux de braise
Elles t'entraînent sous la charmille
Goûter leurs baisers à la fraise

Papillonnez papillonnez
Et tournez donc autour des fleurs
Et quand vous voudrez vous poser
Elles vous diront de voir ailleurs

Tu as des amis généreux
Qui ne sont pas entreprenants
Ils m'offrent tout ce que je veux
Ce sont des garçons prévenants
Mais si tu tournes trop la tête
Pendant que tu es avec moi
Ils verront bien que je m'embête
Et hisseront le grand pavois

Papillonnez papillonnez
Et tournez donc autour des fleurs
Et quand vous voudrez vous poser
Elles vous diront de voir ailleurs

17:00 Publié dans Chansons | Lien permanent | Commentaires (2)

07/06/2005

Solitude

Solitude: ( chanson )

Solitude
Solitude
Mélancolique
Regard tragique
Toi qui m'entoures
Dans
Ta robe de velours
Noir
Et qui m'enferme
Dans une tour d'ivoire
Solitude
Solitude
Au visage d'un ami
Au regard d'une fille
Qui passent au soleil
Et qui tendent l'oreille
D'un air distrait
A mes regrets
Solitude
Solitude
Douce habitude
Qui me préserve
De la peur de parler
Et me permet
Quand je veux de crier
Toute ma peine
Dans des poèmes
Où je cherche une vie
De merveille
Au soleil
Loin de la
Solitude

(Pour la musique, comme je ne sais pas l'écrire, faudra me téléphoner)
(Les petits malins sauront se débrouiller)

22:10 Publié dans Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)